
26 nov. 2009
3 nov. 2009
8 oct. 2009
Le Soap de Marcy : mise au point




Distraitement, Marcelline sème des indices, laisse traîner des signes, adresse des clins d'œil, engrange une plus-value symbolique, joue du subliminal.

Toi.

Mais elle a pour elle la grande qualité de n'exister qu'à travers un soap-opéra qui n'existe pas lui-même. Existentialistement parlant, elle en devient irréprochable.

Suite à une photographie faîte par un double de Marcelline Crane et accrochée ici il y a peu -Partir, indéfiniment partir, Le Petit Chevalier a découpé-ficelé d'autres images qui décomposent et recomposent la première.
Agradeço muito Le Petit Chevalier.

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Un échange qui n'a cependant pas besoin d'être formulé pour s'accomplir, un cheminement asynchrone, un fil entrecoupé, des pensées sporadiques, des images fugaces, un point de fuite vers l'imaginaire -point.
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16 sept. 2009
23 mai 2009
20 mai 2009
18 mai 2009
13 mai 2009
La Métaphore vive, Paul Ricoeur
« La métaphore, c'est la capacité de produire un sens nouveau, au point de l'étincelle de sens où une incompatibilité sémantique s'effondre dans la confrontation de plusieurs niveaux de signification, pour produire une signification nouvelle qui n'existe que sur la ligne de fracture des champs sémantiques. Dans le cas du narratif, je m'étais risqué à dire que ce que j'appelle la synthèse de l'hétérogène ne crée pas moins de nouveauté que la métaphore, mais cette fois dans la composition, dans la configuration d'une temporalité racontée, d'une temporalité narrative. »
11 mai 2009
Marcelline Crane wanna drink this coffee
Louis Scalvis/Dialogue with a dream

Maintenant ne me suivez pas.
Me percevez-vous ?
5 mai 2009
Un pas en avant, un pas en arrière ...
Extrait - Journal de bord de Lussas par Julien Oberlander
[voir en entier http://www.zshare.net/download/5963836786735a40/]
C'était moi hier.
Aujourd'hui j'ai changé.
Je lis ces mots avec le sourire aux commissures.
Moins de peur. Peut-être que sans le savoir je l'ai rangée dans un tiroir. Elle reviendra, par mégarde, quand j'ouvrirai sans le savoir le tiroir où j'avais rangé ma peur.
Marcelline Crane avait besoin d'un gouffre existentialiste pour se prouver qu'elle était toujours vivante. Encore plus qu'avant.
N'y a-t-il pas différentes manières d'être vivant ?
Aujourd'hui je suis vivante-clairvoyante.
Et demain ?
Demain, tout recommence.
Avec le souvenir d'aujourd'hui qui sera hier ... et qui est déjà demain.



2 mai 2009
199-72 H. Disproportion de l'homme.
L'apparition de l'espèce humaine est-elle conséquente au hasard ?
Allons voir :
>Daedalus
>Transhumanisme
>Futurologie
>Singularité technologique
>Oikos
... Puis :
- L'élève : « Est-ce que la lumière est une onde ou une particule ? »
- Le professeur : « Oui »
27 avr. 2009
Sur le chemin ...

Pourquoi ?
L’expérience de déjà vu proviendrait de la rencontre du contenu d’un rêve oublié, en partie ou en totalité, et d’une situation vécue à l’état de veille. Les éventuelles concordances entre les éléments provenant de la vie onirique et le contexte réel rencontré donneraient lieu à l’impression de déjà vu.
Le cerveau aurait la capacité de déterminer, inconsciemment et dans un très court laps de temps, ce qui dans l’environnement du sujet, concorde avec des expériences déjà rencontrées. Cette capacité aurait pour fonction de permettre à l’individu de déterminer si la situation rencontrée l’a déjà été ou non et aurait été utilisée par nos ancêtres pour réagir au plus vite face à un éventuel danger.
Une zone du cerveau, le parahippocampe, serait à la source des sentiments éprouvés lors d’une impression de déjà vu. Le parahippocampe fonctionne habituellement en complémentarité avec l’hypocampe, le siège de la mémoire, qui permet de déterminer s’il y a effectivement concordance entre des expériences déjà rencontrées et une situation actuelle. Lors de sentiments de déjà vu, le parahippocampe fonctionnerait seul, sans l’hypocampe. Il ne subsisterait donc que le sentiment étrange caractéristique du déjà vu.
+
Ressouvenir par l'âme de connaissances qu'elle a acquises en dehors de son séjour dans un corps et qu'elle a perdu lors de sa réincorporation. L'acquisition de la connaissance doit alors débuter par une re-connaissance.
La réminiscence est là pour rétablir deux contradictions : comment l'être humain, dont l'esprit ne dispose que des sens du corps pour se fournir de matière intelligible, peut-il avoir une connaissance intime, parfaite et objective du réel, puisqu'il est soumis à ne connaître que par le biais de ses perceptions, et que ces perceptions ne sont en aucun cas les mêmes choses que leurs objets respectifs ? Et comment le désir de connaissance peut-il avoir pour objet une chose dont il n'a pas la moindre idée, puisque manquant ce qu'il cherche il ne peut savoir ce que c'est ?
+
La maïeutique consiste, selon les croyances de cette époque et dans cette tradition, à faire accoucher les esprits de leurs connaissances accumulées dans des vies antérieures. Elle est destinée à faire exprimer un savoir caché en soi.
+
Maintenant nous pouvons dire que :
La révélation de ce savoir s'offre dans un acte maïeutique qui procède d'une réminiscence.
Le déjà-vu soulève le problème de la perception.
La réminiscence celui de la vérité.
Ce sont des outils.
Pour mieux appréhender les réalités quotidiennes.
La science explicite. Elle appuie, souligne, met en relation.
Les particules subatomiques de l'absurde transcendantal.
Que peut-elle (exprimer) sans art et sans philosophie ?
Je substitue finalement à la question "qu'est-ce qui reste ?", "qu'est-ce qui est au-dessus du reste ?"
Ô influences, flux, rencontres, trouvailles, signes, pistes, énergies, instants précieux partagés.