19 mars 2009

Marcelline à la recherche du prosaïque-érotique

IL était une seconde fois, à l'heure où le soleil cou coupé pousse les vilains nuages échevelés et la sève recommence à circuler dans les corps végétaux en une boucle de vie hydrodynamique, Marcelline Crane se laissait à penser que bientôt l'érotisme hivernal se muerait en érotisme estival et qu'il fallait pour cela se préparer.

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Le fantasme du supermarché est redoutable. Il y a toujours un être au karma saisissant qui décide de faire ses courses en même temps que vous. Et Marcelline Crane est là, devant l'effronterie de l'hypermodernité, à vouloir faire rimer coeurs d'artichauts et enlève mon pull, j'ai chaud!

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Un bas résille, deux bas résille, trois bas résille, quatre bas résille ...
Un porte-jarretelles, deux porte-jarretelles, trois et quatre ...
Un porte cigarette et l'odeur de souffre d'une allumette, un visage de trois quart encadré de cheveux-volutes.
Prend moiiiiiiiiiiiiii

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