29 mars 2009
27 mars 2009
BILL VIOLA / Ocean Without a Shore [klik me]
Imaginons le contexte.
La Biennale de Venise, édition 2007
L'installation.
3 écrans plasma en l'église de San Gallo.
Et là, au milieu de tout cela, la vie après la mort ?
La résurrection dans l'église, joli pied de nez au christianisme romain.
Anathème !
Marcelline Crane dit "oui!".
Envie d'écouter le silence
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Le silence n'existe pas. C'est une abstraction de l'esprit.
26 mars 2009
Ecorce de bouleau et branches de hêtre
C. vient tout juste de m'envoyer cette image.
Il n'y a pas de hasards ...
Comment déconstruire les constructions inconscientes de nos quotidiens pour en écrire l'ananmèse ?
24 mars 2009
23 mars 2009
Man Ray/Marcel Duchamp-John Cage/Nam June Paik
S. I. Dufour dit que trois étapes ont graduellement permit
l'émergence de l'art vidéo.
D'abord les Dadaïstes. Ensuite John Cage, puis Fluxus
et John Cage à travers Fluxus, avec Duchamp, Yoko Ono,
le zen et cie.
Heureusement il y a eu le Super Nam June Paik et Bill Viola,
toujours Bill Viola. Définitivement /Il reviendra plus loin/
Marcelline écoute S. I. Dufour et cherche d'autres pistes.
Naturellement.
Essaie de comprendre comment on peut catégoriser et
pourquoi en a-t-on besoin ?
Art vidéo, cinéma experimental, documentaire de création ...
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Marcelline dit : "Je ne veux pas être un poisson hors de l'eau
alors je veux savoir quel genre de poisson je peux bien être
pour aller de ce flux tremper mes nageoires dans un milieu
aquatique qui soit le-mien. "
Parfois Marcelline aimerait avoir des branchies.
20 mars 2009
19 mars 2009
Marcelline à la recherche du prosaïque-érotique
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Le fantasme du supermarché est redoutable. Il y a toujours un être au karma saisissant qui décide de faire ses courses en même temps que vous. Et Marcelline Crane est là, devant l'effronterie de l'hypermodernité, à vouloir faire rimer coeurs d'artichauts et enlève mon pull, j'ai chaud!
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Un bas résille, deux bas résille, trois bas résille, quatre bas résille ...
Un porte-jarretelles, deux porte-jarretelles, trois et quatre ...
Un porte cigarette et l'odeur de souffre d'une allumette, un visage de trois quart encadré de cheveux-volutes.
Prend moiiiiiiiiiiiiii
17 mars 2009
El Parajo, Lhasa [klik me]
Mírenme, a la vida vuelvo ya...
La la la ...
Pajarillo, tú me despertaste
Enséñame a vivir.
En un abismo yo te esperé.
Con el abismo yo me enamoré.
Pájaro, me despertaste.
Pájaro, no sé porqué.
Mírenme, a la vida vuelvo ya...
La la la ...
Pajarillo, tú me condenaste
A un amor sin final...
En un abismo yo te esperé.
Con el abismo yo me enamoré.
Pájaro, me despertaste.
Pájaro, no sé porqué.
Mírenme, a la vida vuelvo ya...
La la la ...
Pajarillo, tú me condenaste
A un amor sin final...
En un abismo yo te esperé.
Con el abismo yo me enamoré.
Pájaro me despertaste.
Pájaro yo sé porqué.
La la la ...
16 mars 2009
15 mars 2009
10 mars 2009
J'me raconte des histoires ... [klik me]
Non, je me trompe. Toi et moi ne pouvons nous remplacer.
Lorsque nous ne serons plus que deux, nous pourrons crier. Car l'altérité ne fera plus assez de sens. Nous ne serons plus que le miroir l'un de l'autre. Nous nous confondrons comme nous nous fondrons l'un en l'autre et alors nous perdrons toute notion d'individualité. Faut-il être trois pour être ?
Lorsque je reviens à ma solitude, alors je ne suis plus. Je suis sans être. Un fantôme, un esprit. Mais se regarder soi revient à ne pas émettre de regard. Soit disparaître. Faut-il s'oublier pour se reconnaître ?
Est-ce dans l'oubli que l'on trouve la reconnaissance ? Dans l'absence, la présence ?
Si je ne suis plus, alors peut-être enfin suis-je ?